Collège de l'Escargot Rouge
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Collège de l'Escargot Rouge

Forum dédié à l'association le Collège de l'Escargot Rouge pour discuter des manifestations diverses d'icelui : jeux de figurines, de rôle, de plateau, tournois, etc... Toutes informations sur le site : www.escargotrouge.c.la
 
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 [DEADLANDS Classic] We need you!

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Gerald
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Azoun
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty31/5/2014, 16:06

Bien sur, les archétypes sont des exemples, on fait ce qu'on veut en fait. Le but est de faire un perso qui te plait...
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Gerald
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty31/5/2014, 16:26

Ok merci
Je ne sais pas s il sera entièrement finaliser pour ce soir : Background
Et certains points seront a voir ensemble
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cyrille
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/10/2016, 15:27

Fallait s'inscrire en 2014 pour jouer à Deadlands?

Heuu... J'ai manqué quelques chose?
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty26/10/2016, 08:20

Lol, j'avais fait deux séances entre plusieurs campagnes Pathfinder, je déterre le sujet plutôt que d'en ouvrir un autre car il y a toutes les infos sur les premiers posts
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jonam18
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jonam18


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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty20/2/2017, 21:04

Salut Azoun,

je t'ai envoyé sur ta boite mail une idée de personnage.
Me dire ce que tu en penses pour que je développe.
merci.
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Seigneur Tamis
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/2/2017, 09:26

salut la compagnie juste une question ont joue bien a deadlannds ce soir ? et ces bien au pijolin ?
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/2/2017, 09:40

Oui, c'est ça Deadlands au Pijolins, d'ailleurs on a vraiment besoin de toi, sinon on a pas les clés ^^
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Seigneur Tamis
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/2/2017, 10:56

oui je suis bien la ce soir avec les clés
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jonam18
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/2/2017, 12:39

Bien présent ce soir les jeunes.
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty25/2/2017, 15:33

Super ! Alors on devrait être 4 joueurs à Dodge City !
Rdv vers 21h aux pijolins !
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty26/2/2017, 13:05

Compte-rendu de la séance du 25 février :

Après leurs péripéties à Red Rock, accompagnant le dandy anglais Dillenger dans son train-musée, le gang se voit payé le voyage en première classe sur la ligne de l'Union Blue pour rejoindre Dodge City, Kansas. En effet, une grande fête est prévue pour le centième anniversaire de l'indépendance et les autorités locales recrutent des adjoints de sécurité pour l'occasion.
Arrivés sur place dans la matinée du 2 juillet (1876 donc), les personnages se rendent compte des difficultés de cette grande ville de plusieurs milliers d'habitants.
Tout d'abord, le Kansas est dans les Terres Contestées et le Nord et le Sud se livrent à une guerre d'usure pour essayer de faire pencher l'Etat de leur côté. Vu l'influence de la ville, de nombreux agents des deux camps sont certainement présents  pour espionner voire pour exécuter quelques bases besognes.
Mais la guerre du rail est également présente avec la présence de deux voies de chemin de fer, l'une de l'Union Blue de Joshua Chamberlain, héros de Gettysburg (Nord) et l'autre étant la Dixie Rails de Robert E. Lee, le fameux général sudiste (Sud) !
Il va sans dire qu'il y a de nombreuses frictions entre ces deux compagnies allant de l'intimidation au meurtre en passant par le sabotage.
Mais ce qui démarque Dodge du reste des territoires contestés, c'est le harcèlement constant des indiens de la confédération du Coyote, toute proche. En effet, les grandes plaines herbeuses sont remplies de bisons, dont la chasse et le commerce font vivre Dodge, mais les Indiens tuent à vue le moindre chasseur isolé.

Se rendant au bureau du Marshall, les personnages sont reçus par un homme au visage sévère mais qui laisse apparaître une énorme autorité naturelle. En un coup d’œil, il jauge les personnes devant lui et les accepte, ou non, et leur assigne un quartier à sécuriser.

Lee Yi Lo est tout de suite remarqué et assigné à un quartier qui verra une forte concentration de la communauté chinoise.

De leur côté, Jounaidi, Colorado Starr et Lewis sont assignés à un quartier au sud de la ville, bordé par les deux voies de chemin de fer. Un individu fraîchement arrivé de Denver, James Tiberius, est embauché pour le même quartier. Ce nouveau venu semble avoir déjà vécu dans le Weird West et son Colt Frontier trahit son passé militaire unioniste.

La mission est de maintenir l'ordre et de contenir tout débordement en évitant toute violence superflue. L'adjoint du Marshall qui les a embauchés se présente alors, il s'agit d'une légende de l'Ouest, le fameux Wyatt Earp, qui n'a que rarement besoin de faire parler la poudre, il attend la même chose des gens qu'il engage. Les festivités débutent le soir même, le 2 juillet à partir de 18h, et devrait monter crescendo jusqu'au feu d'artifice du 4 juillet. Ils seront payer 10 $ par jour.

Prenant le pouls de leur quartier, les 4 hommes rencontrent les commerçants locaux et commence par prendre deux chambres au Dog Eye Saloon. Ils y sont bien reçu par le tenancier, Dog eye, un soldat nordiste retraité, qui leur paye un verre. Un poivrot essaye de aussi de se faire payer un coup, mais les héros refusent poliment, agressés il est vrai par les effluves nauséabondes du bonhomme.

En sortant, ils interrompent une dispute entre Suzie, la "gagneuse" du Saloon et un homme élégant. Apparemment, ils n'étaient pas d'accord sur les tarifs de la belle. James T. ne semble pas convaincu et interroge l'homme, qui se présente comme Paul Goodwin, soldat nordiste retraité (encore!). Il le suit ensuite au Pullman, le plus bel hôtel de la ville, en dehors de leur quartier d'attribution, et se renseigne sur lui mais rien ne semble dénoter.

Continuant la tournée d'inspection, le gang rencontre un second Saloon, qui fait aussi salle de jeu, un drugstore tenu par Mc Carthy, médecin qui semble se désintéresser de la médecine pour le commerce, la First Bank, bâtiment en pierre qui semble sécurisé, le cabinet de Doc Smith, vétéran confédéré, le restaurant des Kennely, couple d'Irlandais. Il passe aussi devant le Dodge City Times mais ne s'y intéresse pas, avant de tomber sur un stand, loué à l'occasion de la fête, par la ligue anti-alcoolique féminine.
C'est Ida Mae Hobart qui les accoste et les harangue afin de les préserver des méfaits des "boissons du Diable". Jounaidi est sur le même ton que la mégère, James T. reste diplomate sans révéler ses idées sur la chose mais Colorado campe sur ses positions pro-alcool et déclenche la fureur de la vieille dame qui passe par de multiples couleurs avant de le mettre en garde sur le fait que le Tout-Puissant punira tous les pêcheurs.

Finalement, après un bref rappel des lois en vigueur dans laquelle Colorado rappelle à tout le monde qu'il est interdit de manger un cheval vivant (!!!!???!!), les héros doivent s'interposer entre Walter Jackson, un jeune Noir qui distribue des tracts pro-Union, et Ralphie Simpkins, le petit frère de Jake Simpkins, le dirigeant des Cavaliers de la Prairie, une troupe de scélérats œuvrant pour les intérêts sécessionnistes. Le ton monte rapidement avant que les choses n'arrivent à se calmer, mais les Simpkins semblent prêt à en découdre à la moindre occasion.


Dernière édition par Azoun le 26/7/2017, 07:40, édité 1 fois
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty26/2/2017, 13:52

Suite du résumé du 25 février :

Les personnages se sont divisés pour surveiller au mieux le quartier en cette soirée du 2 juillet.
Lewis a choisi l'animation du tripot où l'ambiance reste bon enfant et lui permet de plumer sa table au Poker ! Il n'est pas joueur professionnel pour rien !

Jounaidi et James Tiberius font une ronde sur le pâté de maison le plus au nord, gardant un œil sur le corral qui contient de nombreux chevaux. Colorado Starr s'occupe du pâté de maison sud avant d'être rejoint par Lewis vers 22h. La fête se passe bien, les quelques amorces de débordement étant annihilée par la simple présence des personnages.
Vers 23h, les fêtards commencent déjà à rentrer, il reste encore deux jours de fête et la plupart travaille aussi le lendemain. Seuls les plus avinés prolonge le combat. Mais peu après minuit, un cri déchire la nuit, cri venant de l'étage du Dog Eye Saloon.
Arrivant sur les lieux, on ne peut que constater la présence d'un cadavre, sans tête ni bras, sur le lit empli de sang de la pauvre Suzie, en état de choc. James T. malgré son passé militaire, ne se sent pas bien et accompagne la belle en bas pour partager un remontant (cognac) avec elle.
Pendant ce temps, Jounaidi remarque qu'il s'agit du corps de Paul Goodwin et découvre une lettre cachée, cousue à l'intérieur de son veston.
Lewis découvre des traces de pas sous les fenêtres et les suit jusqu'à ce qu'elles se perdent dans le fatras de la grande rue toute proche.
Puis, se réunissant, ils découvrent un morceau d'étoffe dans les débris de verre, l'agresseur semblant avoir sauté directement par la fenêtre, au premier étage, pour s'enfuir.

Une clameur attire pourtant l'attention, une revanche est en cours et le jeune Simpkins est en train de malmener Walter Jackson, entourés d'une foule alcoolisée qui admire le spectacle. Se frayant un chemin, les héros assistent impuissants à la fracture du bras de Jackson, sur lequel Simpkins à marcher comme si il voulait casser une brindille. Les choses s'enveniment rapidement, les Cavaliers de la Prairie rappliquent, des coups de feu en l'air sont échangés, le ton monte et les mains se rapprochent des pistolets. Le poivrot du matin en profite pour s'approcher du supplicié et pour lui remettre le bras en place d'un geste sûr, avant de lancer un rot magistral et de commencer à tituber pour rejoindre le lit qu'il n'aurait jamais du quitter. Les Simpkins invoquent la légitime défense, défiant du regard quiconque contredirait leur version des faits. Finalement, Ida Mae rapplique et les traite de menteurs, le ton monte encore et Ralphie pousse la mémé, qui entraîne dans sa chute le poivrot, tout deux finissant dans un abreuvoir. C'est à ce moment que rapplique Wyatt Earp, attiré par les coups de feu. Il disperse la foule et donne rendez-vous au lendemain à ses adjoints temporaires, il leur faut résoudre ce meurtre, il leur demande aussi de faire preuve de plus de fermeté et de diplomatie, déçu de voir qu'ils n'ont pas su contenir la foule.

Le lendemain, Earp leur indique que Goodwin était un espion du Nord, la lettre trouvée par Jounaidi confirmant ce fait. Le groupe enquête, fouillant les chambres, essayant d'interroger Suzie, toujours en état de choc malheureusement, et demandant de l'aide au Drugstore sur le morceau d'étoffe retrouvée. Mc Carthy leur indique qu'il s'agit d'une soie de grande qualité, disponible uniquement dans l'Est (Chicago ou New-York, voire de Virginie). La journée se poursuit sans trop d'anicroches mais l'ambiance est suspicieuse et Colorado, de garde devant la chambre de Suzie, reçoit la visite de Walter Jackson, qui est venu le remercier pour ses conseils de s'armer et de recruter des amis afin de se venger des Simpkins (si, si!). Il lui montre d'ailleurs un long coutelas effilé, avec lequel il se rase les poils de l'avant-bras gauche, bandé. Heureusement, Jackson est droitier !

Bizarrement, vers minuit, un cri et une clameur attire les héros dans l'allée derriière le Dog Eye Saloon.
Le corps de Ralphie est découvert, sans tête ni jambes (qui ont disparues, comme c'était le cas pour Goodwin). L'arrivée du grand frère est une  nouvelle fois l'occasion d'une violente montée de tension jusqu'à l'arrivée de Earp. Mais le diplomate Colorado Starr ne se laisse pas compter des railleries de Jake Simpkins et dit à celui-ci qu'il est peut-être l'assassin de son frère ! Il voit rouge mais, avec la présence de Earp, se contente de défier en duel le pistolero à la langue bien pendue pour le lendemain midi.

Le lendemain matin, Doc Smith demande à parler aux adjoints. Il leur dit que Suzie n'est toujours pas sortie de sa torpeur mais que lui a quelque chose à dire. L'examen des corps lui a fait pensé à un vieux souvenir de guerre. Chirurgien à Gettysburg le 3 juillet 1863, il a assisté au passage d'un Boucher qui s'est introduit dans la tente de triage et a amputé bras, jambes et tête sur les blessés présents. C'est Hank Ketchum, vidant son chargeur sur l'homme, qui a alerté les soldats de faction, trop habitués aux bruits de souffrance pour se douter du drame qui se jouait. Ils ont juré avoir touché" le Boucher" à plusieurs reprises, tout comme Ketchum dont le doigt continuait à appuyer sur le détente, le barillet tournant à vide, alors que "le Boucher" venait de lui planter un scalpel et d'emporter son œil avant de s'enfuir... Aujourd'hui, Hank "one-Eye" Ketchum est un célèbre Texas Ranger d'après les connaissances des personnages.

A midi, Colorado se rend à son duel et se rend compte que bien tirer n'est pas forcément le plus important dans ce cas là. Avoir des nerfs solides et pouvoir intimider son adversaire est plus difficile que de toucher un homme statique à 10 m devant soi ! Malgré avoir été touché au bide et aux jambes, il s'en sort tout de même, voyant Jake Simpkins s'écrouler après 3 balles. Mais il n'est pas mort.

Maintenant, James T. attend l'arrivée des chiens limiers qu'il a demandé à Earp, afin de tenter de retrouver la piste à partir du morceau de tissu. La journée s'annonce lourde, les visages sont suspicieux et tout le monde est à cran dans le quartier, la chaleur est insoutenable et le meurtrier courre toujours.....
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jonam18
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty30/7/2017, 17:00

La mission à Dodge city a été une réussite et le boucher de Gettysburg est hors d'état de nuire et son scapel maudit détruit.
Dans le Colorado, à côté de Denver, la nouvelle mission s'annonce tout aussi passionnante : un fils disparu adepte d'une communauté religieuse de fanatiques, une sorcière italienne sur un balai volant, un groupe de pistoleros, ....difficile pas impossible. Very Happy
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty30/7/2017, 18:22

Oui, je vous fais un résumé dans la semaine, c'est tout à fait ça pour le Boucher, plus votre vision (tant mieux) pour le reste ! [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 495773
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty4/8/2017, 14:09

Résumé séance du 29 juillet 2017 « La fête du sangtenaire »

C’est en ce matin du 4 juillet 1876 que Wyatt Earp ramène de l’aide aux héros. Déjà, pour les aider dans leur tâche, il met à disposition Hunter SULLIVAN, qui dispose de tout l’attirail du parfait pistolero. Mais aussi les fameux chiens limiers demandés pour remonter la piste du tueur.
Cela dit, ils découvrent par déduction que le tueur doit avoir des connaissances médicales et se rappellent du poivrot qui a remis un bras cassé. Tiens, il loge d’ailleurs au Dog Eye saloon, lieu du premier meurtre…En ouvrant la porte de sa chambre, ils constatent une pièce bien rangée, en ordre. Mais une inspection minutieuse fera apparaitre des chemises en soie, autrefois de bonne qualité et surtout, cachées sous le lit, une mallette de médecin et deux grandes malles. Dans la mallette se trouvent du matériel de médecine et une petite boite noire en velours qui contient un emplacement pour …scalpel. Dans les malles, des bocaux renfermant des « natures mortes » constituées de têtes cousues avec des membres humains (des « têtes-à-pattes »).
Tout s’emballe alors, la chasse à l’homme est lancée grâce aux chiens qui flairent dans tout le quartier. Finalement, Lewis et Colorado Star voient surgir une silhouette en haut d’un bâtiment, tenant un scalpel en main. Lewis l’ajuste et la touche mais elle saute de 4 mètres de haut et tombe à leur pied, se relevant indemne, et commence à tailler dans le vif. Les deux comparses ne s’en laissent pas compter, Lewis se saisit de son jeu de cartes et semble soudain entourer d’un léger voile qui amortit les coups de scalpel. Colorado Star fait parler la poudre et touche facilement l’individu, qui ressemble en effet au médecin alcoolique mais en plus grand, en plus fort et surtout habité d’un regard de folie, mais les balles ne semblent pas lui faire le moindre effet.
Finalement attirés par les bruits de combat, Hunter et James T. les rejoignent quand ils voient tomber devant eux deux « têtes-à-pattes » avec les têtes des deux dernières victimes qui se mettent aussitôt à tente de les mordre ou de les griffer. Devant cette scène surréaliste James T. parvient à garder son sang-froid et Hunter, pour sa première confrontation aux Horreurs du Weird West, ne met que quelques secondes à se ressaisir.
Comprenant que c’est le scalpel qui dirige les créatures, Lewis se surpasse et réussit d’un coup de feu au millimètre à le toucher, le faisant tomber de la main du pauvre docteur. Aussitôt, celui-ci se met à genou, retrouvant sa pitoyable allure et gémissant pour qu’on l’épargne. Les « têtes-à-pattes » deviennent désordonnées et quelques balles en pleine caboche les font enfin rejoindre l’au-delà.
Les héros prennent la sage décision de détruire le scalpel dans le feu de la forge locale et permettent à Clayton Mansfield, le médecin possédé, de s’enfuir, le faisant passer pour mort. Avant de partir, il leur raconte brièvement son histoire : ce scalpel lui a été offert par son professeur et mentor à l’obtention de son diplôme (tout comme à son collègue, un certain Jack partit exercer à Londres). Le 3 juillet 1876, il officiait à Gettysburg quand tout à coup le scalpel l’a possédé. Depuis, il ne peut s’en défaire et l’objet maudit demandait régulièrement son dû en sang et animait les têtes et membres pour en faire ses gardes du corps.
La fête peut enfin se conclure dans une atmosphère plus sereine, le feu d’artifice est un grand succès et les autorités payent les 30$ à chaque adjoint….


Dernière édition par Azoun le 4/8/2017, 14:15, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty4/8/2017, 14:10

Résumé du 29 juillet (suite)

Restant ensemble, le posse se rend en train à Denver, sur la demande de James T. qui dit y voir une opportunité de travail.
Denver est la plus grande ville de l’Ouest (environ 60 000 habitants en 1876), prospère grâce à sa briquèterie qui alimente la quasi-totalité du continent et à la guerre acharnée des barons du rail qui passent quasiment tous par cette ville. Enfin, pas vraiment car une seule compagnie, locale et attirant toutes les convoitises, a le droit de desservir la gare touristique de Denver, c’est la petite compagnie indépendante  Denver Pacific qui appartient à Smith And Robards  (S&R). Toutes les autres sont obligées de s’arrêter en périphérie et les voyageurs et marchandises doivent changer de train pour terminer leur voyage.
*********************************************************************************Denver est donc une très grande ville dans les contreforts des montagnes Rocheuses avec des bâtiments essentiellement en briques. La gare est située à l’ouest (quartier touristique), au nord on trouve de nombreux entrepôts et fabriques diverses, le centre-ville (le Lo-Do) comporte des quartiers marchands et les bâtiments des riches habitants. Au sud, par contre, se trouve des quartiers malfamés. S&R est connue dans tout le continent pour vendre des équipements de haute qualité et de nombreuses innovations créés par les équipes de savants dont les plus célèbres sont…le Docteur Jacob Smith et Sir Clifton Robard, basés à Salt Lake City comme l'autre grand inventeur, le Dr Hellstrome, mais relié directement à Denver par une ligne de la Denver Pacific. Ils prospèrent depuis quelques années et la découverte de la fameuse Roche Fantôme qui à amener à une révolution technologique. Certains inventeurs sont tout de même parfois qualifiés de « savants fous » tant on se demande où ils peuvent puiser leurs inspirations.
*********************************************************************************
9 juillet 1876
Une fois arrivés à Denver, le groupe rencontre William BYERS, rédacteur en chef du Rocky Mountain News, le journal de Denver et du Colorado. Il leur fait rencontrer un riche propriétaire minier, Irving BACKLUND qui veut retrouver son jeune fils de 24 ans, Christopher. Celui-ci a abandonné ses fonctions de directeur d’une des mines de son père suite au décès tragique de sa mère, il y a quelques mois. Les héros acceptent contre une forte promesse de récompense et avec le fruit du travail de détectives. Le jeune homme a été accueilli dans une église, la Flamme Dorée, une des nombreuses congrégations chrétiennes qui voient régulièrement le jour dans ses territoires en expansion. L’église se situe à Derry’s Ford à quelques jours à cheval de Denver. Leur mission est de le faire retourner à la maison pour assister son père, vieillissant, ou au moins de s’assurer qu’il reste de son plein gré dans cette « secte » comme la qualifie son père.
Sur place, Derry’ Ford est une petite bourgade qui bénéficie de se trouver sur la route pour Denver. Plusieurs commerces sont disponibles. L’enquête de voisinage menée par les persos ne leur apprend pas grand-chose à part des rumeurs plus ou moins crédibles (La chef de file de l’église est une sorcière, on la voit voler sur un balai, elle est toujours accompagnée d’un chat noir, ils sont les seuls à avoir toujours de bonnes récoltes, Duchamp est un ancien hors-la loi..). La rencontre avec le vieux révérend alcoolique Owsley se terminera juste par un message christique « N’y allez pas, c’est la Mort !». Bien sûr, ils s’y rendent, constatent que la congrégation comporte 75 membres environ qui fourmillent d’activité et préparent diverses marchandises pour aller les vendre (nous sommes en pleine récoltes). Ils rencontrent un certain Edgar Duchamp, le seul arborant une paire de six-coups à sa ceinture et Lady Carstairs, belle brune d’une trentaine d’années au type méditerranéen (grecque ou italienne peut-être) qui les assure que le jeune Christopher est là de son plein gré, il le confirmera d’ailleurs de lui-même. Mais devant l’insistance des personnages, il lui sera demandé de fournir une lettre pour le prouver à son père, ce qu’il promet de faire le soir et de la leur donner le lendemain. Rentrant à leur hôtel, James T. en couverture dans les prés avoisinants, ils se voient rattraper par Duchamp qui va boire un coup au saloon en ville. Ils retournent ensuite au bureau de poste s’enquérir d’informations demandées à Denver sur le susnommé. Et là, surprise, il était bien recherché pour des faits de banditisme mais est présumé mort depuis 5 ans…Se faisant tard, ils vont diner puis Lewis se prépare à aller plumer quelques gogos au saloon mais il voit ses 3 compagnons s’endormir comme des briques, d’un sommeil lourd et pesant et décide de rester et de voir qui se réveillera le lendemain pour continuer l’aventure…
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty11/10/2017, 13:45

Résumé de la séance du 23 septembre

Dans cette très chaude nuit d’été, un terrible orage se déclenche, déchainant un tonnerre d’éclairs et des trombes d’eau diluviennes. Malgré cela, les trois comparses endormis ne se réveillent pas. Vers 23h, la pluie redouble encore et de la grêle commence à tomber. La température dégringole brusquement, les bourrasques de vent arrivent à pénétrer dans les interstices de chaque bâtiment et soufflent épisodiquement les bougies et autres flammes à nue. Lewis reste à surveiller ses compagnons et tout d’un coup il voit une silhouette athlétique, encapuchonnée et dégoulinant d’eau, se découper à l’entrée de sa chambre. Il reconnait Jounaidee qui arrive de Denver par le dernier train. Celui-ci a eu beaucoup de retard car les intempéries semblent généralisées aux alentours bien que l’épicentre semble proche. Le reste de la nuit se passera à attendre la fin du cataclysme et le réveil des compagnons.
Et le lendemain la météo est plus clémente, l’orage n’est pas terminé mais semble se diriger vers les Rocheuses à l’ouest. Luttant contre le sommeil, Colorado Star arrive à s’en extirper mais ses deux amis restent léthargiques. Après un petit-déjeuner revigorant, l’attention est attirée par les différents récits des autochtones : « Pas vu un orage pareil depuis 50 ans ! », « Les récoltes sont fichues », « Y a plus personne à la Flamme Sacrée »…
Sur cette nouvelle, nos héros décident de galoper jusqu’à la propriété et constatent la réalité, ils sont tous partis, des traces de lourds chariots en attestent. C’est ce qu’ils avaient dit, ils devaient aller vendre leurs récoltes. Mais de là à partir en pleine nuit sous un orage dantesque ? C’est louche !
Inspectant les bâtiments, les héros constatent que les dortoirs sont inoccupés mais que les effets personnels des uns et des autres sont toujours là, attendant leur retour. Par contre la maison de Lady Cynthia est vide du sol au plafond… en contournant ils découvrent l’entrée d’une cave, fermée par un gros cadenas qui ne résiste pas bien longtemps. A l’intérieur, une odeur abjecte, des cadavres de chiens errants et une grosse pierre noire teintée du sang des créatures sacrifiées. Quels sombres maléfices pouvaient bien se dérouler ici ? Personne ne le sait mais l’idée de rituels de divination est émis quand tout d’un coup les cadavres de 7 chiens se relèvent, arborant fièrement griffes et crocs malgré l’éviscération dont ils sont affublés. Et ils attaquent aussitôt, se focalisant sur le pauvre Colorado Star qui s’était avancé. Les coups de feu résonnent mais les bestioles sont coriaces et c’est finalement l’arrivée du Révérend Owsley qui fera pencher la balance, défonçant les crânes des « animaux » avec sa canne.
Après cela, il se confie au groupe. C’est un autre homme que la veille, son esprit n’est plus imprégné par l’alcool. Il explique avoir reconnu la belle Lady Carstairs lors de son arrivée à Derry’s Ford il y a 4 ans. Il l’avait déjà vue. Il y a 50 ans. Et elle n’a pas changé ! A cette époque, jeune adolescent, il avait suivi de loin son frère ainé qui semblait s’être embrigadé dans une secte religieuse arrivée il y a peu dans leur petit village du Colorado (à quelques centaines de kms de Derry’s Ford quand même). Arrivés dans les Rocheuses, les disciples s’étaient mis à danser autour d’un feu de joie alors qu’un terrible orage s’était déclaré quelques heures plus tôt. Et la leader de cette secte avait prononcé quelques mots qui avaient déclenché une frénésie meurtrière, tous les disciples s’étaient mis à s’entretuer alors qu’elle riait à gorge déployée ! Caché dans les rochers en surplomb, le jeune Owsley avait vécu toute l’horreur de cette scène et en resterait marqué la vie entière. Il s’enfuit, monta clandestinement dans un train pour fuir cette vision d’horreur. Après être arrivé sur la côte Est, il rentra dans les ordres et devint prêtre avant de revenir dans son Etat natal bien des années après.
Et aujourd’hui, il comprend qu’il s’agit bien de la même personne. La première fois qu’il la vit, il fut troublé mais sa raison lui imposait qu’il ne pouvait s’agir de la même personne. Mais les vieux souvenirs resurgirent et le plongèrent dans les affres de la boisson. Et c’est la tempête de la veille et sa Foi en l’Eternel qui lui firent comprendre qu’il était là pour empêcher que tout ça ne recommence car c’était bien la même sorcière !
Enfin bon, pour faire court, les héros accompagnés du vieux Révérend se mirent à essayer de rattraper le convoi de disciples. Ils se dirigeaient inexorablement vers les Rocheuses et le temps allait en s’empirant tandis qu’ils s’en rapprochaient. Dans un canyon, un charriot brisé gisait, en fait une embuscade au cours de laquelle 4 disciples trouvèrent un raccourci vers l’Au-delà mais laissèrent quelques souvenirs plombés à notre groupe. Puis se rapprochant du but, un éboulement de roche barra le chemin. L’escalader ne fut pas la moindre des difficultés mais ils y parvinrent pour aboutir à la même scène que celle précédemment décrite par l’homme de foi : le bûcher, les disciples dansant et la belle femme brune psalmodiant, flanquée de Duchamp un pistolet à la main. L’arrivée des héros déclencha un déferlement de magie, des flammes jaillissait des mains de Carstairs et semblaient aussi chaudes que les flammes de l’Enfer. Lewis fut touché mais parvint à éviter les plus gros dégâts comme par magie. Les coups de feu retentissaient aussi et Duchamp fut le premier à tomber, bientôt rejoint par le pauvre Révérend, carbonisé par la plantureuse femme qui, elle, semblait immunisée aux balles. Jounaidee s’approcha d’elle, elle ne s’en méfia même pas, elle déclama « Tant que brûle ma Flamme de Vie, je ne crains rien ». Les disciples avaient déjà commencé à s’entretuer et elle riait pendant qu’elle lançait des jets de flamme de ses mains. Lewis et Colorado se mirent alors à essayer d’éteindre le feu de joie en donnant des coups de pieds dans les bûches. Cela attira son attention et les visa alors mais fût « coupée » dans son élan par le sabre de Jounaidee. L’étonnement pouvait se lire dans son regard qui se brouillait, puis l’horreur de comprendre que sa vie de plusieurs millénaires allait s’achever sans comprendre comment cette arme normalement inoffensive pouvait lui avoir ôté la Vie Eternelle dont elle jouissait depuis si longtemps…
Finalement, le jeune Backlund est parmi les survivants et semble reprendre ses esprits comme les autres survivants, qui ont tous l’impression de sortir d’un très long cauchemar. Les héros décident de le ramener à Denver et de toucher leur récompense auprès de son père !
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty17/10/2017, 15:15

Résumé séance du 14 octobre :

5 aventuriers se présentent donc au siège de la Backlund Mining pour ramener le fiston et percevoir leur récompense. Mais il n’y avait que 4 personnes à la base. Ceci dit, cela fait quand même 2 000 $ en or à se partager !
Déambulant dans Denver pour trouver un nouveau job, c’est au bureau du Shérif du quartier sud qu’un avis de recherche intéressant est trouvé. Des meurtres de vieux indiens s’y produisent depuis une semaine et en cette période pré-électorale tout est fait pour mettre le maximum de criminels au bout d’une corde.
En novembre, le maire et les shérifs de Denver passeront devant leurs électeurs (tout comme les présidents Grant au Nord et Davis au Sud), l’avenir de tous ces territoires pourrait en être affecté…
Revenons donc à nos héros, les avis de recherche sont à 75$ par tête de meurtrier et un indien Lakota du nom de Djanka Hoaraha semble très intéressé lui aussi. D’ailleurs, tout ce beau monde rentre ensemble interroger le Shérif pour avoir plus de renseignements. Le bureau du Shérif est une simple cabane en bois délabrée et ses occupants sont à cran, ils ne savent pas grand-chose à part que les meurtres ont eu lieu de nuit, sur des indiens mendiants et que les corps présentaient des traces de brûlures.
Pendant ce temps, n’oublions qu’Hunter Sullivan dépense une partie de son argent en compagnie d’Ophelia, surnommée l’ouragan de l’ouest. Tout le monde se retrouve et commence à enquêter dans le quartier sud, le plus pauvre de Denver. Les langues ne se délient qu’en contrepartie d’une pièce ou d’un coup à boire mais toutes les rumeurs sont de sortie : présence d’un indien nommé Raven qui annonce la défaite du peuple blanc contre les indiens, les meurtriers seraient une bande de bandits nommés les Rats d’égouts ou plutôt du fait du parrain local Don Winchester ou encore le célèbre chasseur de primes Boots serait sur l’affaire. Les lieux des crimes sont inspectés mais ne fournissent pas d’indices. Et tout ça se reproduit sur plusieurs journées sans trop de succès mais tous les indiens du quartier sont connus et même une des rares indiennes qui tapine dans un bouge infect du quartier, la fameuse « minou qui siffle ». Seule le vision onirique d’un vieil indien implorant de l’aider entretient le suspens !
Finalement, une lettre accrochée par un poignard sur la chambre d’hôtel leur indiquera deux choses : Ils ne sont pas discrets dans leur enquête et quelqu’un aimerait bien qu’il arrête justement d’enquêter ! Malgré sa réputation de butor, Don Winchester sera visité par les compagnons. Mais en fait non, l’hôtel miteux qui lui sert de quartier général et rempli de ses sbires ne livrera qu’une confrontation avec le bien-nommé Loco, son bras droit mexicain, Lewis ne restera pas longtemps en présence de ce personnage qui semble l’insupporter, et la seule chose qui en sortira c’est l’assurance que ces crimes ne viennent pas de membres réguliers des différentes factions du quartier.
Hunter essaie de remonter la trace du papier à lettre de qualité utilisé pour la lettre de menace, imbibé d’un suave parfum et parcouru d’une délicate écriture, très féminine. Ces investigations lui feront découvrir qu’il s’agit d’un papier « à la française », rare à Denver et venant directement de la Nouvelle-Orléans. Rajoutons qu’un petit homme brun en costume vert et au chapeau melon a payé 5$ pour accéder aux chambres de l’hôtel ce soir-là, mais pas de traces de lui depuis.
Un petit mot est laissé à James T. par un garçon des rues. James T. le poursuit pour en savoir plus mais il dira juste que c’est une jolie dame qui l’a payé pour donner le papier. Par contre, le mot indique que s’ils cherchent un vieil indien, il y en a un qui se cache dans un entrepôt des quais, dans le quartier tout proche de la gare. Enfin un super indice, le fait de ne pas être discret et de distribuer les billets à enfin porter ses fruits ! Et les 6 compagnons, n’oublions pas le discret mais généreux Jounaidee qui a retrouvé les premiers indiens à la soupe populaire à laquelle il avait fait un don qui a entrainé le malaise de la petite vieille qui l’a reçue et le non moins discret Colorado Star qui détone comme un clown à un enterrement dans ces quartiers très populaires, attendent la nuit pour aller retrouver cet indien qui essaie de communiquer en rêve avec eux depuis deux soirs.
L’entrepôt, dont la chaine a été brisée, est rempli de caisses de bois sur 4 mètres de hauteur et le sol est jonché de différentes pièces de trains. Ayant attendu la nuit, il fait très sombre et Colorado tombe rapidement sur un vieil indien, mort, ligoté sur une chaise. A ce moment, un coup de feu résonne et blesse le fabuleux pistolero à la poitrine. Le coup venait d’en haut, du dessus des caisses hautes perchées. Dans la foulée, un homme brun et trapu, portant un chapeau melon, se lève du haut d’une autre pile de caisses et semble lancer une sorte de projectile blanchâtre de ses mains. Touchant James T., il explose, englobant le pauvre Djanka et infligeant de lourdes blessures aux deux compères. Reprenant leurs esprits, les compagnons tirent à leur tour et descendent les assaillants initiaux. Hunter entend qu’un troisième criminel tente de s’enfuir par les toits et il essaie de lui couper la retraite. Il y arrive presque mais doit voir s’enfuir une magnifique femme rousse dans le dédale de ruelles qui entoure les entrepôts. Ils ont tout de même tués deux meurtriers et toucheront la récompense pour les deux. D’ailleurs, en les fouillant ils constatent qu’ils portent chacun un tatouage sur l’épaule (un 5 de trèfle et un 7 de pique), l’homme au chapeau melon avait évoqué sa chef, le valet de cœur, avant de quitter cette vallée de larmes. Il était un bon joueur de poker et avait écumé les tables de jeu des quartiers les plus riches, quelques semaines après le fameux tournoi sur invitation de Denver qui réunit chaque année les meilleurs joueurs du pays (10 000$ au vainqueur quand même).
Dans la nuit qui s’ensuit, le vieil indien apparait à nouveau en songe, l’image prend du champ et décrit un entrepôt, puis une ruelle dans laquelle les héros reconnaissent un bar miteux du quartier sud. On sait enfin où est le vieil indien….
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty9/2/2018, 15:15

Résumé de la dernière séance :

Après avoir repéré les lieux et pris de multiples précautions, le gang se rend à l’entrepôt aperçu en rêve. Les lieux semblent déserts mais une inspection poussée leur permet de constater qu’une grosse caisse a été récemment déplacée, des trainées dans la poussière ne laissant que peu de doutes à ce sujet.
La caisse est en fait vide et l’un de ses côtés, grâce à des charnières, permet de s’y introduire. A l’intérieur, une trappe dans le sol est visible et dissimule une petite cache sombre et malodorante. En y pénétrant, les personnages, méfiants, tombent nez-à-nez avec …un vieil indien !
Il est très affaibli et demande, sans se présenter, de l’aide aux personnages. Selon lui, la situation est très critique. Il ne sait pas qui sont les gens à ses trousses, ni pourquoi ils le cherchent. Malheureusement, il est coincé là et ne peut pas se déplacer comme il le souhaiterait. Il a entendu parler des personnages qui, visiblement, cherchent les assassins. Il souhaite donc leur faire confiance. Il sait que c’est risqué mais, devant l’urgence, c’est son seul choix. Le service qu’il demande est simple Il s’agit de retrouver un homme nommé Jean Doublet et de le lui amener. Cet homme sait de nombreuses choses sur une expédition scientifique en Amérique centrale et il aimerait connaître l’ampleur de ses découvertes...
Le temps est précieux et les gens qui s’en prennent aux indiens ne doivent surtout pas apprendre son existence. Il ne dit pas son nom mais précise que dans sa lignée, il n’existe pas de noms. Sur Jean Doublet, il avouera juste qu’il était un secrétaire d’archéologue européen et qu’il vit désormais dans le quartier Ouest de la ville. Son enquête s’est malheureusement arrêtée là. Alors que les personnages le quittent, il les rappelle et ajoute que s’il venait à lui arriver quelque chose, il faudrait se rendre au Château de Montezuma...

L’enquête est difficile, personne ne semble connaitre de Jean Doublet à Denver. Les personnages multiplient pourtant les idées géniales en enquêtant au Museum de la ville et en interrogeant les quelques archéologues (plus ou moins loufoques) de la ville, ils graissent la patte des employés du télégraphe du quartier ouest, ils pensent même avoir trouvé une piste avec un médecin du quartier mais la filature ne débouche sur rien.
En désespoir de cause, ils se tournent vers leurs contacts, notamment les journalistes, et après une brève entrevue avec l’un d’eux, Harry Mullighan , du Tombstone Epitaph, une embellie se dessine.
Ce journaliste enquête sur une expédition de quatre scientifiques européens, Irvin Steiner, Georges Mason, Kevin Heargraves et Henri Fontaine, débarqués à New York en 1868, accompagnés de secrétaires et de porteurs. Ils arrivent tout juste des universités européennes de Londres et Paris et s’apprêtent à faire un long périple vers le Mexique afin de trouver une cité précolombienne dans laquelle se trouverait une pierre très ancienne et d’une très grande puissance. Malheureusement tous vont périr les uns après les autres, victimes de la terrible malédiction du diamant…
Il veut vraiment en connaitre plus sur les circonstances de ces morts et sur le but de l’expédition et il pense que trouver Jean Doublet serait intéressant, il pense avoir vu ce nom dans ses recherches et il doit s’agir de l’un des secrétaires de l’expédition.
Pour cela, il a un contact. Le journaliste mène donc les personnages le soir même la crypte d’une église abandonnée du quartier de la gare et ne prononce qu’une phrase « l'Ombre du démon veut de moi alors je l'attends ». Il donne alors RdV le lendemain aux personnages au même endroit, à la tombée de la nuit. La mise en scène est élaborée et grandiloquente et le lendemain, caché dans les ombres de la crypte, une figure frêle et enveloppée d’une cape sombre se présente et accepte de retrouver Jean Doublet. Il précise qu’il ne rate jamais une mission mais que pour avoir la réponse demandée, il exige en retour un paiement : Les personnages ont 3 jours pour retrouver un certain Clyde Barkley, qui n’a pas payé sa dette, il se trouverait à Nugget Gulch, à 3 heures de train de Denver. Il faut juste lui rappeler sa dette envers l’Ombre du Démon, ça devrait suffire à lui faire payer et il sait ce qu’il doit…

Alors, on part dans ce bled, une ville champignon classique qui profite d’un filon de Rôche-Fantôme permettant d’en faire un dépôt pour les compagnies ferroviaires desservant Denver. Et la ville est en effervescence le soir-même se tient le concours mensuel de tir du Saïan Saloon, le seul saloon du coin et c’est l’endroit rêvé pour en apprendre plus et tenter de découvrir le fameux Clyde Barkley.

Bon, en fait il y a tellement de monde et l’ambiance est si surchauffée par le concours, particulier (il faut boire un verre cul-sec, le lancer dans son dos, se retourner et le dégommer avec sa pétoire avant qu’il ne touche le sol. On commence avec une chope de bière, ceux qui réussissent continuent avec un verre de whisky et les éventuels finalistes avec un verre de gnôle), que personne n’a été vraiment remarqué. Faut dire qu’à part le sobre Jounaidee, tous les autres ont voulu tenter le concours et d’ailleurs s’en sont bien sortis puisque la finale s’est jouée entre deux d’entre eux !

Mais sur les derniers coups de feu, une légère secousse a ébranlé le saloon et on a pu sentir de l’interrogation voire de l’inquiétude sur certains habitants du cru. Du coup, tout le monde sort et on se rend compte très vite que la banque s’est fait braquée. Le banquier est retrouvé ligoté sur son siège et décrit un braquage étrange, visiblement par des amateurs. Ils étaient 3, ils avaient l’air maladroit et le plus jeune des trois avait l’air stressé. Il n’arrêtait pas de parler. Il a même dit le nom d’un de ses collègues (Joe). Le plus jeune a aussi précisé, et cela n’a pas plu aux deux autres, qui lui ont dit de se taire, que c’était un coup vraiment facile et qu’en plus, il récupérerait l’argent du contrat. Il a aussi dit qu’il ne fallait surtout pas faire de mal au banquier pour avoir l’argent à la fin du contrat…

Là-dessus se pose la question de la secousse. C’est vrai que c’est une ville minière mais les concessions sont juste à l’extérieur de la ville et même si des boyaux de mine passent sans doute sous la ville, personne ne serait assez bête pour faire exploser une charge et risquer de détruire une partie de la ville. Les compagnons se portent volontaires pour enquêter, ils interrogent des habitants, font le tour des concessions (avec de drôles de rencontres parfois, un jeune garçon (Franck Reynolds) qui attend le retour de son père (Jack) qui semble perdu dans réseaux de sa mine, un vieux (Hammock) qui tire quasiment à vue sur qui ose rentrer sur sa concession, une bande de russes armés qui semblent assez hermétiques (la mine Popov), un autre vieux à la Clint Eastwood (le vieux Harry) qui parle de disparitions de mineurs récentes et d’une légende sur des indiens qui auraient quitté cet endroit car maudit et hanté par un « monstre », la concession de Doug Davis, qui explique avoir vendu du matériel de mine quelques jours auparavant à un groupe plutôt « citadin », sans doute parti exploité un filon plus loin dans la montagne, la mine Monterro, occupée par des mexicains assez repliés sur eux-mêmes….

Enfin, la conclusion de cette exploration c’est que le réseau sous-terrain est incroyablement dense et instable et que sans un plan il est quasi-impossible de pouvoir y trouver son chemin.
En tout cas, le lendemain matin le maire offre une prime à qui retrouvera les braqueurs et l’enquête s’emballe. A la forge, Bill est « sorti pisser dans une ruelle » lors du tournoi de tir et a vu trois hommes près de la banque. Le plus jeune n’arrêtait pas de parler et a laissé un papier tombé par terre, Bill l’a ramassé, il ne sait pas trop lire et ce matin un type qui enquêtait aussi est passé, il lui a laissé. Un certain Charles Edward Lovecraft est aussi rencontré, il est ici pour la réputation sulfureuse du Weird West, il espère un jour pouvoir écrire des romans d’horreur pour pouvoir faire vivre sa famille, dont son jeune garçon, Howard Phillip. Bon, il semble plus fou qu’autre chose et ne semble pas impliqué dans le braquage ou les explosions.

Une seconde explosion se fait sentir, tout aussi légère mais semblant se dérouler sous la ville, la panique et l’incompréhension se font à nouveau sentir et tout s’accélère. Le vieux Harry retrouve le groupe et leur signale qu’il faudrait envoyer des gens voir ce qui se passe là-dessous et aussi secourir Franck Reynolds. Mais sans plan, c’est peine perdue. Il se rappelle que le registre des propriétaires de concession ainsi que de nombreux plans de galeries sont déposés dans une banque à Denver. Il s’agit de la banque Mc Mahon près de Main Street. Un chasseur de prime les rencontre aussi, un certain Adam Stevenson ; c’est lui qui a récupéré le mot trouvé par le forgeron alcoolique Bill. Dessus, il y a un plan sommaire menant dans les montagnes à une mine désaffecté et une heure de rendez-vous (hier soir), il s’agit d’un papier à en-tête mais froissé et humide, on distingue une sorte de logo qui ressemble à un SdE, dessous, les lettres sont trop effacée mais on semble lire Soc..té des E.pl.ra.eu... Le groupe se rend au point de rendez-vous mentionné, accompagné de Stevenson, et tombe sur une bande de 3 types avinés. Il s’agit visiblement des braqueurs, les descriptions concordent.
Ils expliquent qu’ils attendent leur employeur. Après quelques questions assez soutenues, les braqueurs expliqueront qu’ils devaient opérer à une heure précise et ne devaient pas faire de mal au banquier puis revenir au point de rendez-vous. Ils ont aussi entendu un nom lors de l’entretien d’embauche, qui s’est déroulé dans un salon cossu en centre-ville, apparemment il s’agirait d’un club assez sélect, la Société des Explorateurs. Les types parlaient entre eux et le nom de Clyde Barkley a été prononcé. Le chasseur de primes semble très surpris par ce nom. Les braqueurs sont arrêtés mais malheureusement, leur employeur ne vient pas. L’enquête peut continuer… Il est sûrement temps de partir vers Denver afin de trouver les plans permettant d’explorer le dédale souterrain…
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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty18/2/2018, 13:19

Très bonne séance en petit comité, merci les cowboys !

Résumé de la séance du 17 février :

James T. et Colorado reprennent donc le train avec Adam Stevenson, le chasseur de primes et retournent à Denver où les attend Hunter Sullivan. Le débriefing de ce dernier permet de se rendre compte qu'à l'évocation de Clyde Barkley, le chasseur de primes semble mal à l'aise. En l'interrogeant à ce sujet, les réponses sont assez évasives, l'homme concède simplement qu'il s'agirait d'un trafiquant de reliques, dépouillant les sites historiques du Weird West, souvent indiens.

Finalement, la suspicion est de mise et les compères se demandent même si ce ne serait pas lui le fameux Clyde Barkley (j'adore !). Mais ils se séparent pour gagner du temps, Hunter se rend àla Société des Explorateurs (Main Street) et les autres vont à la banque Mc Mahon pour tenter de trouver les plans des mines.

Hunter est accueilli assez froidement par le serviteur à l'entrée du club mondain qui semble très select. Mais quand il évoque le nom de Clyde Barkley, un véritable membre, il est invité à entrer dans la zone d'accueil et à patienter. Ça sent le cigare froid et l'argent, bâtiment luxueux. Rapidement, un dandy distingué descend de l'étage et emmène Hunter dans un bureau du rez de chaussée. L'homme se présente comme le dirigeant de ce bureau local de la SdE, Pennigton Smythe. Il explique qu'il s'agit d'une société ...d'explorateurs (bien choisi le nom), certains explorent les terres inconnues, d'autres chassent des bêtes sauvages et certains s'intéressent aux sites historiques, mais nombreux sont aussi les vieux aristocrates qui viennent ici pour boire et fumer. Il explique qu'il faut payer une cotisation annuelle de 1000$ et entreprendre une expédition tous les ans. Sur Clyde Barkley, il expliquera bien volontiers ce qui se passe en donnant juste le nom de la responsable de l’expédition Abigail O’connell, ils sont partis dans la région pour explorer des sites indiens abandonnés. Il finit l'entrevue en proposant à Hunter d'adhérer à la SdE, quelques sous-entendus échangés semblant plaire à l'aristocrate...

Pendant ce temps, les autres font la queue à la banque Mc Mahon avant d'atteindre l'unique guichet.Demandant pour les plans des concessions de Nugget Gulch, ils sont surpris par la réponse indiquant que ces plans ont été demandés il y a quelques jours à peine par un homme qui présentait une lettre de recommandation de la SdE et qui proposait un "don" à la banque en échange (oui, un pot de vin, ce qui n'a rien alarmé chez les joueurs), "don" accepté par la banque. Persuasifs sur les raisons qui les poussent à vouloir consulter ces plans, sauver des vies, la banquier leur met à disposition accompagnés de deux gardes armés. Ils font une copie avant de sortir. Dans la rue bondée, Colorado s'éclipse et retourne à l'église abandonnée, il récite tant bien que mal la petite incantation pour l'ombre du démon et lui laisse un message demandant une description de Clyde Barkley.
Ils se rejoignent puis se séparent à nouveau : Hunter veut visiter l'Ours de Petrograd et les autres vont graisser la patte du petit personnel d'Abigail O'Connel pour tenter d'en apprendre plus. Contre deux double-eagle (2 x 20$), le majordome aurait donné un rein, donc il s'épanche de toutes ses informations. Madame est partie il y a 3 jours, pour une expédition avec Clyde Barkley et 5 autres membres de la SdE à destination de Nugget Gulch. Ils sont partis "légers" ( pas de dynamite ou de gros matériel) mais bien armés.

Ah, la Russie, quel beau pays ! L’ours de Petrograd est dans le quartier sud de la ville, plutôt aisé pour ce coin normalement mal famé de la ville, mais dans une ruelle à l’écart, un peu moins bien tenue… Un ours orne l’enseigne où est gravée une phrase en cyrillique . Le saloon/hôtel est presque vide… Les hommes de l’ouest n’aiment pas les étrangers et les Russes ne font pas exception. Un immense ours empaillé trône au milieu de la pièce mais il ne fait pas illusion : le véritable ours de Petrograd, c’est le barman : 1,95m pour 180 kilos de graisse et de poils hirsutes qui cachent en bonne partie son visage, l’homme est lent, poussif, haletant, et le simple fait d’essuyer sa vaisselle semble être un effort incommensurable pour lui. Il commence à parler en Russe et Hunter qui a des notions assez simples en russe répond par un "Vodka". Il n'en fallait pas plus pour voir le visage de l'homme s'illuminer, première tournée, premiers verres lancés dans le dos et la conversation s'engage tant bien que mal avec le barman qui a un accent aussi lourd que sa bedaine. Quand la mine de Popov, les explosions sous la ville et la disparition des mineurs sont évoqués, l'ambiance est moins bonne mais Popov surgit, c'est un homme grand et maigre, habillé à la dernière mode avec un lourd manteau en vison. Arborant une épaisse moustache qui contraste avec son crâne entièrement chauve, dévoilant des bijoux différents à chaque mouvement, Popov sort une montre en or de la doublure de sa veste et lance évasivement un « Je vous accorde 30 secondes de mon temps ». Ce sera largement suffisant car Popov ne sait rien… Il se désintéresse complètement de l’affaire et des gens qui meurent dans sa mine. Le Barmanlui murmure alors un truc en Russe et son expression change… « Eh bien Monsieur, je ne peux pas réellement vous aider mais si vous résolvez ce problème, sans mêler les autorités locales à tout ça, je suis prêt à vous verser une coquette petite somme… ».
Autant vous dire que c'est pas tomber dans l'oreille d'un sourd !

Il est temps de retourner à Nugget Gulch et dès l'arrivée on sent l'ambiance plus lourde, les volets sont fermés et quasiment personne dans les rues alors que le jour n'est pas encore complètement tombé. Les compagnons glanent quand même quelques informations. En effet, les tremblements de terre ont continué mais une explosion beaucoup plus puissante a eu lieu. Une poche de gaz s’est enflammée et a remonté les galeries jusqu’au caveau de l’ancien maire. Le spectacle (un grand grondement doublé d’une forte lumière éclairant grande partie du cimetière à travers les fissures du caveau désormais chancelant) a eu des conséquences fâcheuses dans tout le cimetière.Les tombes sont sorties de terre, des cadavres dépassent, les chemins ressemblent à des tranchées de guerre mais les bâtiments en dur (cryptes, maison du gardien) ont assez bien résisté. Seul le caveau de l’ancien maire a sérieusement été ébranlé.
Croisée dans la rue une bonne grosse femme, Anna Nomant, qui cherche son fils de 9 ans, Ricky, et qui demande aux cowboys s'ils l'ont vu... Elle s’inquiète et se demande s’il n’est pas allé au cimetière voir ce qu’il s’y passait suite à l’étrange lumière.
Bon, ils y vont, hein, ce sont des héros après tout, mais de nouveaux tremblements de terre les ralentissent. Les secousses sont plus violentes que d’habitude et ils sont assez près pour entendre l'écho d'une dynamite. C'est à ce moment qu'une pluie de pierres tombales, de squelettes et de terre leur tombe dessus les obligeant à trouver un abri et à prier pour leur tête.
Ils atteignent et fouillent le caveau dans lequel, il y a les restes du campement de la SdE : quelques rations de nourriture, des campements, des réserves de dynamites, de poudre quelques accessoires personnels dont un petit carnet sur diverses abominations (goules, changepeau, tunneliers,...) et une porte qui semble mener à une deuxième partie dans laquelle se trouve sans doute la sépulture. Avant tout, James T. décide d'aller planquer la dynamite ailleurs, en sortant il cherche une endroit et finit par entendre des gémissements, c'est le petit Ricky qui est tombé dans un trou du aux explosions. Il est avec un homme blessé et inconscient. James T. sort le garçon et récupère l'homme puis le réveille. Il dit s'appeler Nathan et c'est un newbee de la SdE chargé de surveiller le campement pendant que l'expédition est partie. Bon, ils le remuent un peu mais il ne sait pas grand chose sauf qu'ils sont là pour "enfermer" en bouchant des tunnels une menace. Retournant au caveau, les joueurs trouvent dans la
deuxième pièce du caveau le gardien ligoté et bâillonné, mais aussi en sueur car l'une des pierres
tombales a traversé le toit et s'est plantée entre ses genoux. Ils le libèrent, il explique qu'un
groupe d'hommes l'a séquestré, mais lui a promis de ne lui faire aucun mal et le nourri depuis
quelques jours en lui racontant que « ça avance bien et qu'il ne devrait plus tarder à partir ». Ils lui ont même dit que cette journée était la dernière.

Bon bah ça y est, va falloir descendre ! L'entrée des souterrains a été dissimulée dans la sépulture. Ça sent le souffre et les corps en décomposition et surtout cette entrée n'étant pas sur les plans, il faut du temps avant de pouvoir se repérer sur le plan. Au détour d'un boyau, un membre de la SDE gît dans une mare de sang. Une jambe lui a été sectionnée et il semble paralysé. Hunter s'approche et le pauvre s'accroche à sa manche les yeux emplis de folie, il prononce quelques mots : « Pennington…Légion... Crépuscule » avant de mourir. Au moment où il a rendu son dernier souffle, un bruit de crissement résonne au fond d’une galerie voisine. C’est une sorte de Fourmi géante de la taille d'un chien, un tunnelier, qui a ressenti des vibrations et s’approche pour voir ce qui se passe. C’est l’heure de passer à l’attaque. Le combat est bref mais intense et les tireurs se rendent compte que la carapace chitineuse de la bestiole semble protéger efficacement l'insecte démesuré.

Après un certain temps, James T. réussit à se repérer et ils atteignent une grande cavité naturelle dont certains boyaux semblent avoir été fraichement bouchés à la dynamite. Il découvre aussi plusieurs indices : d'anciennes peintures indiennes sur les murs, semblant être un rituel de protection, un boyau menant à la mine Popov et un autre avec des traces de pas et de griffes. C'est celui-là qu'ils suivent, il s'enfonce dans les profondeurs et les ténèbres puis débouche sur une partie plus plane dans laquelle le reste de l'expédition de la SdE a combattu deux gros tunneliers, de la taille d'un cheval. De ce combat, seul un tunnelier semble avoir survécu, à moins qu'ils ne viennent d'arriver en renfort. En tout cas, il est pas content et sa carapace encore plus épaisse se révèle une formidable protection, difficile à passer. Adam Stevenson semble paniquer et dégaine un pisolet-Gatling, arrosant la bestiole mais 3 balles touchent l'Horreur sans pour autant lui infliger le moindre dégât. Hunter a compris et utilise sa Winchester, les autres continuant au Colt. L'insecte est tout de même blessé mais parvient au corps-à corps, sa présence monstrueuse terrifiant James T., qui s'effondre après que son cœur ait loupé un battement, et Hunter qui en tremble encore 3 jours plus tard mais poursuit le combat. C'est le pauvre Stevenson qui est attaqué et une mandibule lui agrippe le bras, le déchirant profondément mais en se concentrant à bout portant sur sa tête, les deux autres pistoleros finissent par abattre le bestiau.
Stevenson leur avoue alors faire partie de la Pinkerton et après concertation ils décident de faire appel à l'agence pour s'occuper de ce qui peut rester en profondeur. Avant de repartir, ils examinent les corps de la SdE et identifient Abigail et Clyde. Sur elle un carnet d'expédition qui sera ramené par Colorado à la SdE, ce qui ne laissera pas une bonne impression à Pennington Smythe. Sur l'homme, un carnet codé, des armes personnalisées et deux sacoches. La première contient 12 balles enveloppées individuellement dans du papier, dans la seconde un jeton de poker noir suintant.
Les 3 compagnons vont au rendez-vous avec l'ombre du démon à temps. Son représentant se gausse du petit mot laissé la veille par Colorado mais accepte le carnet codé en paiement. Il indique en retour une adresse eu nom, Henry Gillingham , le nouveau nom de Jean Doublet. Hunter retourne à l'Ours de Petrograd et reçoit une récompense bien méritée. Puis il retourne à la SdE pour arrondir les angles et évoque la Légion du Crépuscule. Smythe lui réitère sa proposition d'intégrer la SdE, sans quoi il ne pourra rien lui dire de plus. Hunter botte en touche mais ces deux-là se comprennent apparemment sans se parler et ils conviennent de se tenir au courant si des "prédateurs" étaient découverts dans les environs.

Pour terminer, les 3 se rendent à l'adresse de Doublet, sa maison vient d'être fracturé et personne à l'intérieur. un tour dans la rue et Hunter aperçoit la commère du quartier derrière ses rideaux. Elle vient de voir son pauvre voisin sorti de force de chez lui par un jeune homme et amener chez un autre couple de voisins proches. Dans l'entrée de cette maison, un couple de personnes âgées, morts, les yeux révulsés, baignant dans leurs excréments. Des traces mènent à l'étage, il faut défoncer une porte bloquée par une chaise. Cela a laissé le temps au bandit de s'évanouir, littéralement par la fenêtre. Reste alors un vieil homme, Doublet, un œil crevé et l'abdomen éviscéré, dans un dernier râle , il indique "chez moi, la pierre , dans la cheminée...".
Les amis retournent à la maison et trouvent grâce aux indications les reste du journal d'expédition de Doublet. Ils retournent voir le vieil indien et le retrouvent mort, son médaillon à disparu...
La nuit suivante, il apparait en rêve et leur rappelle "Allez au château de Moctezuma"

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Azoun
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty18/2/2018, 13:21

Le petit manuscrit trouvé dans une boite en fer cachée dans la cheminée reste lisible mais est jauni par son séjour près du foyer de la cheminée...


Journal d'expédition de D'Alan Mosley, secrétaire de l'expédition européenne

« 21 juillet 1868 : Nous avons débarqués à New-York ce matin. Que cela est agréable de se sentir sur la terre ferme ! Et Dieu que cette ville est grande et populeuse. Je comprends maintenant pourquoi tant de nos compatriotes désirent s’y rendre. Cependant, je ne suis pas là pour rêver mais bel et bien pour aider Sir HEARGRAVES et ses collègues à atteindre le but de leur passionnante mission. Il ne m’a pas encore expliqué ce que nous cherchions vraiment, mais je sais d’ores et déjà que cela va être incroyable et aussi probablement un peu dangereux. Que je suis excité à l’idée de traverser le continent Nord-américain jusqu’au Mexique ! Cet après-midi, Sir MASON doit se rendre à la pyramide des Francs-maçons, à l’angle de la 3ème et 13ème Rue. Je ne sais pas si je dois raconter tout cela mais puisque j’ai la mission de tenir ce journal d’expédition, je pense que la rédaction doit être honnête et transparente telle la quête que nous entreprenons.
La pyramide est apparemment un des endroits les mieux gardés de la ville. Sir MASON doit y rencontrer nos compatriotes immigrés ici depuis quelques années. Il est évident qu’il appartient à cette société secrète. Ils vont nous aider à préparer l’expédition. Pour le moment, ils nous logent dans un hôtel proche de leur loge. Quelle splendeur et quelle richesse !

22 juillet : nous partons dans une semaine. Durant ce temps, nous devons nous fournir en vivres et matériel. Sir MASON passe énormément de temps à l’intérieur de la pyramide. Il semble que les Francs-maçons détiennent d’intéressantes connaissances occultes. Elles nous seront très précieuses. Ce soir mon maître m’a appris le but de notre voyage : trouver une mystérieuse cité précolombienne. Que ce voyage va être enrichissant !

29 juillet : Nous embarquons toutes nos affaires dans un superbe train de la Budington Cie. Le trajet doit nous mener vers la Nouvelle-Orléans en deux ou trois jours. Je vais essayer de demander des précisions au Professeur car j’avoue que ma curiosité me démange.

30 juillet : Sir HEARGRAVES n’a rien voulu me dire de plus mais j’ai cru comprendre, lors d’une discussion qu’il a eu hier soir au bar avec la Docteur Steiner, que la cité secrète cacherait un mystérieux et énorme diamant noir fait d’obsidienne et de Roche Fantôme concentrée. Dire que nous venons juste de découvrir ce minerai et quelques-unes de ces stupéfiantes applications alors que ces peuples la connaissaient il y a déjà plusieurs siècles ! Cela m’intrigue encore plus car je ne vois pas à quoi cela pourrait servir. A moins que cette découverte n’ait qu’un aspect archéologique… Enfin, j’espère en savoir plus dans quelques jours lorsque nous serons arrivés à la Nouvelle-Orléans. Il me presse d’y être car le voyage est long et monotone.

31 juillet : cette nuit, nous avons été attaqués par un gang de bandits. Les soldats qui sont chargés de la sécurité du train nous ont brillamment débarrassés d’eux mais Sir HEARGRAVES s’est montré étrange et vraiment violent envers eux comme s’ils n’avaient pas fait correctement leur travail, ce qui n’est pas le cas ! Mon maitre est de plus en plus étrange ces temps-ci…

1er Aout : Nous voilà arrivés à la Nouvelle-Orléans. Bien que nous ayons traversé de nombreux endroits fascinants, celui-ci est totalement renversant. Le seul problème est que les habitants parlent français...Quelle horreur… Je ne comprends pas un mot et seuls nos collègues français nous permettent de communiquer avec la population locale ! En revanche, il y fait bon vivre et se reposer. En effet, nous allons faire une pause ici, le temps aux professeurs de rencontrer un homme qui va leur permettre de mettre au point la fin de notre périple. Nous serons en effet bientôt au Mexique et le but sera proche. Hier soir, un chat est entré dans nos chambres d’hôtel, son regard était étrange. De quoi succomber aux étranges croyances magiques des habitants de cette ville, la Vaudou, si on n’a pas l’esprit affûté.

6 août : Nous sommes partis ce matin de la Nouvelle-Orléans. Cette ville va me manquer tant elle est seine et paisible, mais j’avoue que l’aventure me manquait. Nous sommes dans un train de la Bayou Vermillon, dont les billets nous ont, semble-t-il, été offerts si j’ai bien compris la discussion entre Sir HEARGRAVES et Sir MASON, par un puissant notable de la Nouvelle-Orléans…Mais j’en dis trop, je n’aurais pas dû entendre cette discussion. Ma curiosité me perdra ! Enfin, bon, je suis bien content de continuer notre périple en train car le temps est horriblement chaud et nous ne sommes pas habitués à de telles conditions. Cependant, il faudra malheureusement s’y accoutumer puisque nous allons finir le voyage vers El Paso en chariots et à cheval afin de trouver un guide pour traverser la frontière.

8 août : Ce voyage est incroyable ! J’ai remarqué aujourd’hui que le Docteur Steiner était de plus en plus tendu et qu’il se heurtait souvent à ces collègues. Cela doit être le temps étouffant de cette contrée.

10 août : El Paso nous voilà ! Notre hôtel n’est pas aussi luxueux que les précédents, il ne l’est même pas du tout d’ailleurs. La poussière de l’Arizona et le soleil nous empêchent de respirer et les conditions sont de plus en plus difficiles. Cependant, l’aventure nous appelle et le Mexique et ses mystères ne sont plus très loin.

11 août : La nuit a été difficile, je suis atteint d’une forte fièvre et de maux de ventre aigus. J’espère que le voyage me fera du bien, nous partons en effet bientôt. Je n’écrirais pas plus aujourd’hui car je me sens trop faible.

14 août : Mes dernières forces me quittent. Je suis atteint de dysenterie. Les médecins locaux appellent cela l’épidémie de tord-boyaux du Texas, c’est abominable ! A peine sommes-nous partis qu’un cheval est mort et que nous avons été par des brigands. De plus, un essieu s’est cassé. On dirait qu’une malédiction s’est abattue sur notre expédition. De toute façon, je n’aurais pas la force de continuer et je crains bien que ma route s’arrête ici… »

Une autre plume semble avoir rédigée cette dernière entrée


15 août 1868 : Allan est mort cette nuit dans d’horribles souffrances. Mon ami, je continuerai l’œuvre que tu as commencé pour la prospérité. Adieu mon ami.




Dernière édition par Azoun le 21/2/2018, 16:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty20/2/2018, 21:19

Très bon résumé et très bonne séance ! Very Happy

Que les xénomorphes des mines nous ont fait du mal. J'ai eu une peur bleue et le coeur coupé !
Ah les sales bêtes.

Là où nous indique l'indien me semble tout indiquer !
Je propose d'aller au château de Moctezuma !
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty21/2/2018, 16:44

Merci bien, c'est bien là le principal !

Le terme xénomorphe ne vient pas de moi mais finalement c'est une assez bonne description ^^

Je viens de mettre le journal en ligne (2 posts au-dessus).

J'attends donc votre choix pour la suite (où allez-vous?) et vous pouvez gérer des affaires personnelles directement avec moi par mail ou ici si vous voulez en informer tout le groupe!
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty21/2/2018, 18:23

le vieux briscard de l'appel de Chtulhu que je suis suggère de ne pas partir sans information.mais, je doute que la pyramide maçonique nous laisse compulser ses ouvrages occultes. Du coup, les infos, je ne suis pas sur que cela soit facile à trouver.

Du coup, je dirai bien d'essayer de les rattraper à El Paso pour au moins retrouver leurs traces, voire leurs cadavres pour fouiller leurs effets personnels en quête 'information. Sinon, oui, direct à la pyramide. Et on va creuver comme des m...

Mais, le MJ peut-il nous donner la date actuelle où se situent les PJ?
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MessageSujet: Re: [DEADLANDS Classic] We need you!   [DEADLANDS Classic] We need you! - Page 2 Empty22/2/2018, 09:13

Bien sûr, vous avez affronté le boucher de Gettysburg lors de la fête du centenaire de l'indépendance il y a quelques semaines maintenant, vous êtes donc fin août 1876, soit 8 ans presque jour pour jour après la première expédition !

Va sans doute falloir bien s'arracher sur les jets de pistage ^^

Plus sérieusement, vos personnages "savaient" que c'était il y a 8 ans. Ce que vous savez de l'expédition jusqu'à maintenant (c'est le journaliste Harry Mulligan, du Tombstone Epitaph, qui vous l'a appris quand vous cherchiez Jean Doublet, avant de rencontrer l'Ombre du Démon (vous avez eu véritablement cette info in game) :

"Une expédition de quatre scientifiques européens, Irvin Steiner, Georges Mason, Kevin Heargraves et Henri Fontaine, débarque à New York en 1868, accompagnée de secrétaires et de porteurs. Ils arrivent tout juste des Universités européennes de Londres et Paris et s’apprêtent à faire un long périple vers le Mexique afin de trouver une cité précolombienne dans laquelle se trouverait une pierre très ancienne et d’une très grande puissance. Malheureusement tous vont périr les uns après les autres, victimes de la terrible malédiction du diamant noir et de quelques coups tordus de différentes personnalités influentes du Weird West."

Le Tombstone Epitaph est "réputé" pour trouver des explications délirantes à toutes choses, il parle parfois de monstres, de morts-vivants ou d'autres contes à dormir debout ce qui en fait un journal peu lu et encore moins cru. Ceci dit, bien que le siège soit à Tombstone (Arizona), de nombreux journalistes de ce canard parcourent le Weird West avec leur drôles d'appareil (photographique mais bizarre) toujours à l'affût d'histoires délirantes. Par contre, ils payent peu...
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